The Elder Scrolls V: Skyrim, l'ambiance nordique enivrante.

  A moins d'avoir hiberné depuis au moins 10 ans, n'importe quel amateur de RPG s'aperçoit que le W-RPG ou RPG dit occidental traverse en ce moment une espèce d'âge d'or, une période bénite lui étant complètement favorable. Si ma préférence s'oriente plutôt vers les productions japonaises, ça ne m'a pas empêché durant cet E3 de craquer littéralement devant les trailers des meilleurs représentants du genre comme par exemple, la licence The Elder Scrolls. 

  Mon expérience de joueur sur cette série se limite à une partie d'une soixantaine d'heure sur Morrowind en version PC que j'ai interrompu un jour, sans jamais la reprendre alors que bizarrement l'expérience s'était avérée concluante, malgré un système de combat à la maniabilité peu commode. Le fait qu'il y ait énormément de choses à faire dans un Elder Scrolls réclame du temps pour l'apprécier pleinement. Le dernier épisode m'a charmé par son monde ensorcelant, où les terres rudes de Skyrim promettent une aventure d'une succulente saveur. Il sort pour Noël et je sais que je ne pourrai pas le caser dans mon emploi du temps durant cette période. Mais j'espère pouvoir m'y mettre dessus en 2011. J'espère... T_T

Le Seigneur des Anneaux: La Guerre du Nord, un aigle géant à l'honneur.

Autre titre multi-plateforme prévu dans le courant de l'année, La Guerre du Nord tiré du mythique univers du Seigneur des Anneaux. Parmi les RPG basés sur la licence, j'avais apprécié et fini Le Tiers Age sorti sur la génération précédente qui affichait un bilan honnête, mis en valeur par le système de combat (celui de Final Fantasy X) et sa réalisation excellente.

Cet action-RPG assurant un mode coopératif permet de diriger un groupe de trois guerriers composé d'un rodeur, d'un nain et d'une elfe. Priviligeant l'action pure, j'en attends d'abord un bon défouloir dans les Terres du Milieu avec un argument de vente choc: la possibilité d'invoquer Beleram l'aigle géant, venant secourir la petite troupe, en massacrant sans pitié tout obstacle génant. Il faudra amasser des plumes spéciales pour appeler le grand volatile à la rescousse.

The Witcher 2: Assassins of Kings, le retour du roi .

Je termine par le king ou plutôt l'assassin de ces derniers. Présente-t-on encore aujourd'hui Geralt de Riv? A peine sorti, ce RPG s'est rapidement imposé comme la Roll Royce du genre, par sa réalisation époustouflante n'ayant rien à envier à un Final Fantasy. Par son ambiance dark fantasy très appuyée et son orientation adulte, cette éphémère exclue PC est le jeu du moment avec sa charismatique tête d'affiche.

Pour l'instant, jouer à The Witcher 2 m'est impossible. Mon PC de sept longs printemps n'est plus à jour et l'achat d'une nouvelle machine n'est pas à l'ordre du jour, du moins tout dépend de la confirmation de la version PS3.

Si cette dernière n'est pas officialisée, je me déciderai alors à changer de PC car aprés avoir vu les trailers,  il est évident que les aventures du sorceleur promettent d'être... ensorcelantes. ^_^''

Une 2D relookée, très colorée dont les sorts magiques bénéficient de la puissance de la PSP pour nous offrir des effets sympathiques. Sans prétention mais agréable à l'oeil.

La vitesse d'exécution des commandes est primordiale pour s'en sortir lors des affrontements corsés. Du tour par tour basique aujourd'hui dont l'intérêt est renforcé par la jauge ATB et les invocations.

Du très bon boulot de la part d'Uematsu. Beaucoup de thèmes inoubliables, que ça soit la map, les donjons ou encore les combats. 

Le point fort de ce titre. Cecil et Kain  sont parfaits dans l'éternel thème de la rivalité, Rydia est mignonne comme tout, Cid très attachant ainsi que les autres comme Palom et Porom. Des rebondissements fabuleux (et révolutionnaires pour l'époque) les attendent, pour le meilleur... et le pire. 

Bien travaillé même si les grandes lignes restent les standards du genre. Pour un RPG sorti il y a presque 20 ans, on ne peut qu'applaudir.

L'un des premiers gros RPG disponible sur la richissime ère des 128 bits. Graphiquement, il accuse un peu le coup avec une modélisation des personnages assez sommaire. De plus, cette version PS2 scintille pas mal.  

L'un des meilleurs jamais crées!! Le concept génial du premier épisode est encore amélioré dans cet opus où on ne se lasse jamais de combattre. Peut-être le seul titre où j'ai fais tous mes combats aléatoires. 

Une fois de plus, le compositeur Iwadare fait plaisir au joueur en rendant du travail de qualité. Les 2 thèmes de combat sont inoubliables au point de ne jamais les fuir. Oui décidèment, j'aime les combats de Grandia II.

Ryudo est le meilleur héros de la série par son désign et sa personnalité. Impossible de ne pas citer la somptueuse Millenia, faisant oublier la crûche Elena. On regrette la présence trop éphèmère de Melfice..

L'église encore pointée du doigt. L'intrigue a le mérite de s'orienter vers une ambiance plus mature et moins bon enfant que celle son grand frère mais s'avère aussi hélas plus courte.