Le design des personnages est excellent mais alors qu'est ce que c'est moche pour le reste. La réalisation médiocre peine à être sauvée par les cinématiques très efficaces.

Et on tape, tape, tape... C'est du beat'em all donc c'est redondant. Les espaces moches n'aident pas à l'immersion. Même la partie shoot avec le dragon n'est pas terrible.

Le bon point de ce calvaire signé Cavia. Les mélodies épiques font ce qu'elles peuvent pour accompagner le joueur dans ce massacre. C'est le critère qui sauve la mise... ou pas.

Nowe le héros n'est pas intéressant. Son coté chien fou donne l'impression qu'il n'a pas de cervelle. Heureusement Eris, Manah et surtout Urick sont parfaits.

Le précédent semblait pousser le glauque très loin. Le second épisode fait l'effort d'être plus modéré sans oublier ses racines. Mais autant tout visionner sur Youtube.

Catégorie: Déesse.
Arme utilisée: Epée divine.
Point fort: Un design beau à pleurer et son fameux "Nibelung Valesti!!", une furie fantastique en combat.
Point faible: Elle est en première ligne pendant les joutes. Même pour une déesse, les risques de KO sont plus importants.
La séquence où elle assure: Dans le vaste champs de fleurs, lorsqu'elle prend les devants avec Lucian (son promis dans le monde humain) nous offrant un des plus beaux baisers vu dans le jeu vidéo.

Observation: Par sa vocation, Lenneth peut paraitre froide mais la découverte progressive de son passé va laisser place à une jeune femme émouvante, libérant à la fin de l'intrigue la quintessence de son pouvoir.

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Avec la puissance des 128 bits, Level 5 retranscrit fidèlement le style de Toriyama. On se croirait dans un dessin animé intéractif!

Classique aux changements assez minimes. Sauf que cette fois-ci, les personnages sont présents dans l'arène et s'animent lors des attaques.

La musique de Sugiyama lors de l'introduction est légendaire. L'orchestral fait son entrée dans cet épisode et offre une sacrée bouffée d'air pur.

Le héros a son propre passé, Jessica met les bouchées doubles en sensualité, Yangus est bête et Angelo, le joli coeur, offre des répliques marrantes avec Jessica.

Soigné mais trop classique pour être mémorable. Le rythme vers la fin est une catastrophe. Le plaisir est dans l'exploration et la découverte de la map (immense) avant tout.