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17 avril 2024 3 17 /04 /avril /2024 13:15
[Test/Review] FINAL FANTASY VII Rebirth

Fini en 130h, lvl 49, mode normal.

"Mon cher Final Fantasy XII, de cette série tu a été depuis 2007 mon préféré. Après toutes ces longues années, il est désormais temps (et il était vraiment temps) pour toi de céder le trône à un nouveau successeur".

 

Points positifs:

+ J'étais pas prêt : presque (je dis bien presque) toute la map de Final Fantasy VII à l'échelle 1/1, dont l'océan central explorable, en tiny bronco. Pratiquement tout le CD1 du jeu original, en cuvée 2024, est là. Un contenu AAA massif, digne des FF de l'ére PSOne.

+ Les villages, énormes et grouillant de vie: Kalm et Cosmo Canyon sont méconnaissables.

Le bien et le mal, l'ange et le démon, Cloud et Sephiroth.

Le bien et le mal, l'ange et le démon, Cloud et Sephiroth.

La prairie de Kalm est la première grande zone ouverte du jeu. Et là, on commence à halluciner.La prairie de Kalm est la première grande zone ouverte du jeu. Et là, on commence à halluciner.

La prairie de Kalm est la première grande zone ouverte du jeu. Et là, on commence à halluciner.

"Hmmm, comment pister Sephiroth? Mais oui, suivre les manteaux noirs". FF VII Rebirth retrace tout le cheminement du CD1 du jeu original.

"Hmmm, comment pister Sephiroth? Mais oui, suivre les manteaux noirs". FF VII Rebirth retrace tout le cheminement du CD1 du jeu original.

+ Le système de combat, savant mélange de tour par tour ATB/dynamique bourrin confirme sa solidité.

+ Une ambiance plus joyeuse, communicative, par rapport à la mélancolie oppressante du jeu original. Pour commencer à tirer la gueule, faudra attendre les 2 derniers chapitres.

+ Une pléthore de mini-jeux dont le Queen's Blood, un jeu de cartes additif, aux règles simples mais riche en stratégie. Faites les défis du carnaval des cartes pour comprendre toutes les subtilités tactiques (il y a les cartes à l'effigie des héros à gagner) de ce jeu génial. Et en plus, la quête est scénarisée.

+ L'alchimie du casting, pleine de vie avec une VF soignée. Même cette peste de Youfie que je n'ai jamais pu encadrer en est devenue attachante. x_X

Malgré son statut de fugitif, Cloud va faire forte impression au sein de l'armée Shinra.Malgré son statut de fugitif, Cloud va faire forte impression au sein de l'armée Shinra.

Malgré son statut de fugitif, Cloud va faire forte impression au sein de l'armée Shinra.

L'arrivée à Costa del Sol est un enchantement.

L'arrivée à Costa del Sol est un enchantement.

A la station balnéaire, bizarrement l'envie d'utiliser le mode photo se fait plus fréquente. Pouvoir admirer Tifa en maillot de bain, ben oui on ne va pas se gêner.A la station balnéaire, bizarrement l'envie d'utiliser le mode photo se fait plus fréquente. Pouvoir admirer Tifa en maillot de bain, ben oui on ne va pas se gêner.

A la station balnéaire, bizarrement l'envie d'utiliser le mode photo se fait plus fréquente. Pouvoir admirer Tifa en maillot de bain, ben oui on ne va pas se gêner.

+ Une dizaine d'invocations, qu'on peut désormais utiliser dans tous les combats, sous réserve d'avoir breaké l'ennemi.

+ La rencontre Barret/Dyne, qui prend aux tripes.

+ Tout le chapitre 12, du début à la fin: somptueux mélange de féerie et d'humour cocasse, la licence nous offre ce qu'elle a su faire de mieux par le passé.

+ Certains flashback narratifs, via les quêtes annexes des protoreliques.

+ La région de Gongaga, avec sa forêt luxuriante, complexe en exploration et son thème musical entêtant: j'ai adoré.

+ Le thème musical épique des combats contre les invocations dans le simulateur.

+ La synthèse, finalement pratique, à condition d'aimer la cueillette à outrance, comme un Horizon Forbidden West.

+ Le cheminement de l'aventure, contre toute attente, assez fidèle à l'original, malgré les changements apportés par la fin du Remake. Mais rassurez-vous, les révélations de la fin de Rebirth donneront naissance à de nouvelles théories.

 Mais que renferme donc cette maison au loin? Le monde de FFVII Rebirth est immense en découvertes et activités, même si ces dernières sont répétitives.

Mais que renferme donc cette maison au loin? Le monde de FFVII Rebirth est immense en découvertes et activités, même si ces dernières sont répétitives.

La région de Junon est riche en épaves et nous permettra de jouer à Fort Condor, un mini-jeu bien connu.La région de Junon est riche en épaves et nous permettra de jouer à Fort Condor, un mini-jeu bien connu.
La région de Junon est riche en épaves et nous permettra de jouer à Fort Condor, un mini-jeu bien connu.La région de Junon est riche en épaves et nous permettra de jouer à Fort Condor, un mini-jeu bien connu.

La région de Junon est riche en épaves et nous permettra de jouer à Fort Condor, un mini-jeu bien connu.

Points négatifs:

- Un épisode en mode "entre-deux", dépendant du FFVII universe. Faire Crisis Core, le Remake et le DLC de Youfie est obligatoire pour comprendre certains passages. Lire le roman Traces of Two Pasts sera un plus, ainsi qu'avoir bouclé le jeu original. Bon courage.

- Mécaniques d'exploration archaïques: grimpette à la Horizon Zéro Dawn, tours à activer façon Far Cry, temps de chargement camouflés par des animations vues et revues.

Entre la profondeur de la vallée de Cosmo Canyon et la luxuriance de la forêt de Gongaga, le contraste est saississant.Entre la profondeur de la vallée de Cosmo Canyon et la luxuriance de la forêt de Gongaga, le contraste est saississant.
Entre la profondeur de la vallée de Cosmo Canyon et la luxuriance de la forêt de Gongaga, le contraste est saississant.Entre la profondeur de la vallée de Cosmo Canyon et la luxuriance de la forêt de Gongaga, le contraste est saississant.
Entre la profondeur de la vallée de Cosmo Canyon et la luxuriance de la forêt de Gongaga, le contraste est saississant.Entre la profondeur de la vallée de Cosmo Canyon et la luxuriance de la forêt de Gongaga, le contraste est saississant.

Entre la profondeur de la vallée de Cosmo Canyon et la luxuriance de la forêt de Gongaga, le contraste est saississant.

- Activités annexes similaires et répétitives au fil des régions.

- L'humour tendance marvelesque ne plaira pas à tout le monde.

- Ventre mou ressenti sur le rythme du récit aux chapitres 10 et 11. Cait Sith, imposé en solo avec son mini-jeu de lancer de caisse? La pire idée du jeu.

- Les mini-jeux imposés dans le récit principal, là encore, ça fera tirer la grimace à certains.

- Confrontation finale trop longue, même si ça sert au scénario.

"Je prends la place de Tifa. Ca ne te dérange pas, hein?"

"Je prends la place de Tifa. Ca ne te dérange pas, hein?"

Voici une réorchestration de OWA que j'aimerais bien voir dans la 3e et dernière partie du remake.

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23 février 2024 5 23 /02 /février /2024 18:45
[Test/Review] MARVEL'S SPIDER-MAN 2

Terminé au lvl 58.

En toute franchise, je préfère largement le 1er Marvel's Spider-man sorti en 2018 car Venom n'a jamais été ma tasse de thé. Mais force est de reconnaitre que le symbiote n'a jamais été aussi bien traité que dans ce AAA, qui surclasse largement ce qui a été fait sur grand écran.

 

Points positifs:

- 2 Spidey pour le prix d'un.

- Plus sombre que le premier, normal vu le casting de super-vilains.

- Les costumes des films: la trilogie Sam Raimi, les Amazing et les Home de chez Marvel.

- Avec la présence de l'homme sable, Venom et la relation tourmentée Peter/Harry Osborn, on a l'impression d'assister à une réécriture du Spider-man 3 de Sam Raimi... en mieux!

- Des rajouts sympathiques dans le gameplay, comme pouvoir planer entre les buildings.

- Des moyens colossaux dans la mise en scène des affrontements cruciaux.

- Un terrain de jeu plus grand.

- Une Mary-Jane assez badass par moment.

 

Spidey peut désormais visiter une partie de Brooklyn et du Queens. Ici, la mythique vue du Manhattan Bridge, du quartier Dumbo.

Spidey peut désormais visiter une partie de Brooklyn et du Queens. Ici, la mythique vue du Manhattan Bridge, du quartier Dumbo.

Le terrifiant Venom est une sincère réussite. L'ambiance générale du jeu s'en ressent.Le terrifiant Venom est une sincère réussite. L'ambiance générale du jeu s'en ressent.

Le terrifiant Venom est une sincère réussite. L'ambiance générale du jeu s'en ressent.

Mary-Jane face aux ténèbres. La journaliste se révèle bien plus forte et décisive dans ce second opus. Un peu trop, peut-être?

Mary-Jane face aux ténèbres. La journaliste se révèle bien plus forte et décisive dans ce second opus. Un peu trop, peut-être?

Points négatifs:

- L'effet de surprise est estompé. L'impression de version 1.5 se fait durement ressentir.

- La relation Peter/Mary-Jane un peu délaissée.

- Une IA toujours digne des télétubbies pendant les phases d'infiltration.

- Des quêtes trop répétitives et un New-York assez pauvre en activités annexes intéressante.

- Des bastons qui ont tendance à s'éterniser.

- Beaucoup de costumes moches, surtout pour Miles Morales.

- Une OST qui peine à se renouveler.

Certains objectifs annexes sont répétitifs, comme la quête de l'homme-sable. Heureusement qu'elle est scénarisée.

Certains objectifs annexes sont répétitifs, comme la quête de l'homme-sable. Heureusement qu'elle est scénarisée.

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2 février 2024 5 02 /02 /février /2024 19:30
[Test/Review] EIYUDEN CHRONICLE Rising

Terminé en 22h, Level 37.

Si tous les fans de RPG ont en ce moment les yeux rivés sur la proche sortie de FFVII Rebirth (en jouant peut-être à Yakuza 8 pour patienter), il ne faut pas oublier Eiyuden Chronicle: Hundred Heroes prévu pour avril. Ce titre signe la renaissance inespéré de la licence Suikoden et le financement participatif a été un tel succès qu'un prologue à ce futur hit est même sorti en 2022. Son nom? Eiyuden Chronicle Rising faisant l'objet de ce test. Une version physique est aussi disponible depuis quelques mois.

 

Points positifs:

- Des runes? Un QG à construire et faire évoluer? Mais oui, ça respire bon Suikoden tout ça!

- Une réalisation soignée où la progression 2D en scrolling horizontal rappelle les productions Vanillaware ou encore le fameux Valkyrie Profile de tri-Ace.

- Un trio de personnages très complémentaire: CJ, la jeune baroudeuse enjouée, Garoo le kangourou mercenaire et Isha la maire du village, magicienne surpuissante au sens des affaires très affuté.

- Gameplay efficace associant chaque personnage à une touche pour les alterner rapidement, à la manière d'un Y's VIII.

- On a envie de connaitre la suite.

Sur l'écran OLED de la Switch, les couleurs ressortent magnifiquement bien. CJ, l'héroïne du jeu, apporte une ambiance bon enfant.Sur l'écran OLED de la Switch, les couleurs ressortent magnifiquement bien. CJ, l'héroïne du jeu, apporte une ambiance bon enfant.

Sur l'écran OLED de la Switch, les couleurs ressortent magnifiquement bien. CJ, l'héroïne du jeu, apporte une ambiance bon enfant.

Points négatifs:

- Une tonne de quêtes fedex sans grand intérêt.

- Un boss qui manque sincèrement d'originalité.

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7 janvier 2024 7 07 /01 /janvier /2024 14:39
[Test/Review] FINAL FANTASY VII Remake: Intermission

Terminé au lvl 37.

Ce début d'année 2024 s'annonçant riche en sorties comme Yakuza 8, Granblue Fantasy: Relink et surtout FFVII Rebirth, la suite attendue du remake sorti en 2020, il est temps de s'attarder un peu sur le DLC de ce dernier, mettant en scène une figure bien connue des fans: Youfie Kusaragi.

Elle revient, plus survoltée que jamais. Le joueur, lui, prendra une dose de calmants.Elle revient, plus survoltée que jamais. Le joueur, lui, prendra une dose de calmants.

Elle revient, plus survoltée que jamais. Le joueur, lui, prendra une dose de calmants.

Points positifs:

- Un doublage VF réussi, collant parfaitement à l'attitude candide de Youfie.

- Les retrouvailles du casting de Dirge of Cerberus, sorti en 2006 (Oui c'est loin). Tout ce qui avait été écrit pour ce spin-off n'a pas été jeté à la poubelle.

- Le système de combat dynamique très fun, comme FFVII Remake.

- Une nouvelle invocation est présente. Laquelle? A vous de deviner.

- Une cinématique de fin bonus, impeccable comme toujours.

Si Sonon (à gauche) est décevant, quel plaisir de retrouver Nero (au centre) et Weiss (à droite). Si Sonon (à gauche) est décevant, quel plaisir de retrouver Nero (au centre) et Weiss (à droite). Si Sonon (à gauche) est décevant, quel plaisir de retrouver Nero (au centre) et Weiss (à droite).

Si Sonon (à gauche) est décevant, quel plaisir de retrouver Nero (au centre) et Weiss (à droite).

Points négatifs:

- Il faut être très résistant à supporter le sempiternel Youfie-Show car oui, l'adorable peste en fait des tonnes.

- Attendre un loading du système ATB pour utiliser un simple objet, j'avoue qu'aujourd'hui ça me saoûle.

- Le Level-design est toujours aussi fainéant: des couloirs entrecoupés d'arènes... SE ne sait visiblement faire que ça.

- Le personnage inédit de Sonon, le partenaire de Youfie, est insignifiant et ne sert à rien.

Une fin bonus dans le DLC fera le lien avec FFVII Rebirth, jeu qu'on n'en finit plus d'attendre!

Une fin bonus dans le DLC fera le lien avec FFVII Rebirth, jeu qu'on n'en finit plus d'attendre!

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24 novembre 2023 5 24 /11 /novembre /2023 18:39
[Test/Review] FINAL FANTASY XVI

- Terminé au lvl 47 en 100 heures, avec toutes les chasses et quêtes annexes (sauf monolithes de Chronos)

Le Final Fantasy nouveau, cru 2023, est arrivé et promettait beaucoup. Finalement, c'est plutôt une déception malgré de bonnes idées.

Clive et Jill forme un couple pouvant se montrant très touchant par moment, même attachant, mais l'évolution de leur romance est incroyablement mal écrite.Clive et Jill forme un couple pouvant se montrant très touchant par moment, même attachant, mais l'évolution de leur romance est incroyablement mal écrite.

Clive et Jill forme un couple pouvant se montrant très touchant par moment, même attachant, mais l'évolution de leur romance est incroyablement mal écrite.

Points positifs:

- Clive, un héros qui tient la route en plus d'avoir une classe folle. Sa VF est parfaite.

- Cid, un personnage récurrent qui offre peut-être sa meilleure version dans cet opus.

- Le sociogramme et la carte intéractive de Vivianne neuf-contes: assez révolutionnaire pour ne pas perdre le fil du l'histoire et le contenu du lore.

- Les affrontements ultra-spectaculaires face aux Primordiaux, en particulier celui de Titan, peut-être le moment le plus épique du jeu.

- Le système de combat dynamique se révèle fun à jouer au fil des heures.

- Masayoshi Soken arrive à relever le défi d'offrir une OST à la hauteur.

- Contrairement à FFXV, le jeu se suffit cette fois à lui tout seul.

Benedikta, Hugo et Dion offriront en affrontement les meilleurs moments de l'histoire.Benedikta, Hugo et Dion offriront en affrontement les meilleurs moments de l'histoire.Benedikta, Hugo et Dion offriront en affrontement les meilleurs moments de l'histoire.

Benedikta, Hugo et Dion offriront en affrontement les meilleurs moments de l'histoire.

Points négatifs:

- La progression est trop facile: on roule sur le jeu. Même le boss secret ultime offre peu de résistance si on est bien préparé.

- Pas de gestion d'équipe, à part le chien.

- Pas de gestion élémentaire: on peut tuer des adversaires de vent avec des magies similaires ou écraser des bombos avec... du feu! Quelle aberration.

- Uniquement des chocobos pour les déplacements: pas de bateau (uniquement le temps d'une cinématique) ou d'aéronef.

- Où est mon Ultima Arma? Mon Omega Weapon?

- A cause du fléau noir, la carte nous sucre presque une bonne moitié de sa superficie en exploration.

- Une inspiration trop calquée (et ridicule) sur Game of Thrones ou The Witcher avec des tentatives de scènes érotiques grotesques. Final Fantasy doit rester Final Fantasy, bon sang!

- Un univers faussement complexe.

- Jill, une héroïne donnant l'impression de ne pas être à sa place (ou dans le bon FF) avec un comportement digne d'un légume, si on excepte le chapitre "Le feu et la glace" lui étant dédié.

- Des phases d'exploration semi-ouvertes ayant 10 ans de retard technique.

- Des phases de dialogues champ-contrechamp datant de la PS3 avec une mise en scène indigne d'un AAA next-gen.

- Des QTE simplistes, niveau maternelle... et inutiles?

- Un ennemi final révélé trop tôt et des objectifs principaux répétitifs.

- Des adversaires "sac à PV" rallongeant inutilement les combats.

- Des donjons linéaires au level-design inexistant. On est très loin de FFXV.

- Yoshida est revenu sur sa promesse d'un jeu sans DLC.

- La fin drama de trop (pour moi). Aprés FFXV, FF Type-0 et Stranger of Paradise, y'en a marre des conclusions dépressives.

- Le plus faible Final Fantasy de la série que j'ai pu faire depuis 25 ans.

La map se révèle être une belle arnaque: presque la moitié est inexplorable à cause du fléau noir (voir les zones les plus sombres). On a compris, de futurs DLC payants combleront cette lacune.

La map se révèle être une belle arnaque: presque la moitié est inexplorable à cause du fléau noir (voir les zones les plus sombres). On a compris, de futurs DLC payants combleront cette lacune.

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