Tout l'univers de A Link to the Past est entièrement modélisé en 3D. Soigné, le visuel fait penser à des personnages en pâte à modeler. L'aspect mignon et coloré correcpond bien à la direction artistique voulue sur cet épisode.
Rien n'a changé au niveau gameplay hormis cette compétence graffiti permettant à Link de parcourir tous les éléments muraux du décor. L'exploration s'en trouve enrichie.
On retrouve certains thèmes légendaires avec d'autres nouvelles pistes bien agréables à écouter.
Zelda et Link, on les connait par coeur et nous jouent une fois de plus leur registre habituel. On appréciera surtout le personnage de Lavio (cynique dans ses motivations) et son identité révélée à la fin du jeu.
Heureusement que c'est la suite d'un Zelda daté de 20 ans. Parce qu'en 2014, j'aurais envie d'être bien plus sévère sur la note sur ce récit naif et très simplet. Son identité reste cohérente avec celui lancé par son illustre prédécesseur donc je met la moyenne.