On sent que Tri ace aime soigner la technique de ses jeux et Resonance of fate ne déroge à la règle. Un bel effort sur la modélisation des personnages mais la richesse d'exploration (des villes surtout) manque cruellement à l'appel.
Alors là, attention c'est de l'artillerie lourde. Innovant, dynamique et doté d'une mise en scène fantastique digne des films de John Woo, ce système est rempli de subtilités incroyables permettant au joueur de surmonter une difficulté assez stressante par moment.
Ni mauvaise, ni mémorable, l'OST remplit son rôle immersive par des musiques d'ambiance et de techno soignées. Celle du donjon final est prenante. J'attendais quand même mieux pour un titre inédit.
Leanne, Zephyr et Vashyron forme un trio fantastique mais sous-exploité par la mise en scène du scénario, totalement pauvre. Heureusement que les combats leur redonnent la mise en valeur qu'ils méritent. On appréciera aussi la personnalité de certains cardinaux.
Une montagne qui accouche d'une souris: voilà la sensation que m'a donné ce titre promettant beaucoup. Affiché au début de façon prétentieuse avec des cinématiques tonitruantes, le soufflet retombe à plat avec une mise en scène et un rythme catastrophique. Le seul atout de cette histoire de croyance et de miracle, c'est son absence manichéenne.
Mise à jour du 17/12/11: Test Dissidia: Final Fantasy