Enchanteresse.
Les amateurs d'heroic-fantasy sont aux anges en ce mois d'avril. La dernière petite perle du RPG s'appelle Child of Light et sort (hélas) uniquement en démat'. Seule consolation, le code d'achat est livré dans un beau packaging collector avec un artwork grand format de Yushikata Yamano lui-même. La majorité des sites pro ont craqué, les yeux remplis d'étoiles au charme de cette production Ubisoft Montreal, développé en guise d'hommage au J-RPG qui ne cesse d'émerveiller depuis plusieurs mois avec bon nombre de tueries (Ninokuni, FE Awakening, Tales of Xillia, Bravely Default...). En dépis d'une quête jugée trop courte, la princesse Aurora peut rejoindre tranquillement le club des grands du genre. Je veux y jouer!
[Test express]
Avec ses effets pastels très colorés, la patte graphique est révèle charmante pour nos rétines. De la 2D de grande qualité.
Une barre d'action dynamique permet de gérer tactiquement les tours de nos alliés face aux ennemis, permettant de leur griller leur action si le déplacement des icones est plus rapide. "Hé mais c'est du Grandia!" dites-vous? Tout juste.
Composées par Coeur de pirate (et oui!), les mélodies sont belles et mélancoliques. Du beau boulot.
La princesse Aurora et son équipe s'expriment en vers donnant l'impression d'être dans un conte de fée. Forcément, psychologiquement c'est très léger.
Comme les personnages, le scénario se veut léger et colle bien à l'hommage voulu au conte de fée.