Disponible depuis mi-avril sur PS4, Final Fantasy XIV A Realm Reborn continue sa triomphale carrière (plus de 2 millions d'abonnés) avec cette dernière version console reboostée, se rapprochant grandement de la version PC. Même si je n'ai pas le temps de m'engager dans un MMO en ce moment, j'ai craqué pour la version collector que j'avais laissé filer sur PS3. Je le commencerai cet automne même si ça risque d'être chaud vu que Tales of Xillia 2 a été annoncé pour fin août!
Sans précommande, trouver cette version dans les boutiques peut s'avérer compliqué. J'ai pu chopper le dernier exemplaire dans une FNAC. Ce collector possède un contenu de qualité présentant bien le mamouth annoncé. Ayant adoré Final Fantasy XII, c'est un grand plaisir de contermpler tous les arts crées par Akihiko Yoshida, excellent charac-designer au trait si particulier. Attention à ne pas confondre avec Naoki Yoshida, le directeur artistique du jeu.
Hormis le jeu bien sur, le gros morceau du coffret s'avère être l'artbook rempli des travaux du maitre. On retrouve la magie des Final Fantasy d'antan avec toutes les créatures familières de la licence dont les fameuses invocations, nommés primordiaux dans cet épisode.
Beaucoups de monstres ennemis sont bien servis coté design. On retrouve aussi des antagonistes ressemblant fortement aux juges de Final Fantasy XII et dotés d'une classe à toute épreuve. Les rétines sont comme promis aux anges.
Legacy, l'encyclopédie numérique.
Avant de se lancer dans le jeu, vaut mieux lancer le blu-ray bonus nommé Legacy afin de bien s'imprégner de l'univers. Une longue cinématique raconte les évènements d'Orzea et l'interface du vieux grimoire contient une immense chronologie historique. A visionner sans modération donc, pour savoir où on met les pieds.
L'OST est une sélection des morceaux musicaux les plus représentatif du monde d'Orzea qu'on pourra écouter en feuilletant l'artbook histoire de se mettre dans l'ambiance.