14 novembre 2012
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20:33
On n'est pas loin du 10. La cinématique d'introduction, celle du bal de promo et tant d'autres ont mis tant d'étoiles dans les yeux des joueurs qu'il s'agit d'un des RPG les plus aboutis techniquement sur PSOne. Les invocations restent encore impressionnantes aujourd'hui et les décors sont variés (mégalopole high-tech, Citadelle moyenâgeuse...)
Très bourrin à cause de l'utilisation massive des G-Forces et des limit break. La seule subtilité tactique est le vol de magie dont son stockage permet de découvrir un système de craft original et prenant.
Ecrasé par sa productivité de l'époque, Uematsu commençait à s'essouffler dans cette OST. Heureusement, au milieu de nombreux thèmes d'ambiance passables, on repère vite les pépites (Liberty Fatali, The extreme...).
A cause de son omniprésence, Squall ratatine tout le casting et l'importance accordée par les scénaristes à sa relation avec Linoa n'arrange pas les choses. La prêtesse Edea arrive à tirer son épingle du jeu.
Impressionnant de complexité, le récit part dans de sacrés délires à partir de sa seconde moitié. C'est travaillé mais par moment un peu confus. Le manque d'informations claires concernant le boss final reste un constat décevant.
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PSOne
Test express
7 novembre 2012
3
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/2012
21:26
Parler des graphismes de ce titre en 2012, c'est un peu compliqué. Les cinématiques n'ont rien perdu de leur impact, ni les décors mais les personnages sont moches comme c'est pas permis. Même
les invocations ont mal vieilli graphiquement.
L'un des préférés des fans. Les Materia offrent des combinaisons impressionnantes, permettant de crafter les armes et les personnages de manière très fun. Les tactiques en combats restent
basiques: on bourrine et on soigne.
Un effet bontempi assez pourri gâche des partitions devenues mythiques: J-E-N-O-V-A, Cosmo Canyon, Still More Fighting, Aerith's theme ou encore One Winged Angel.
Peut-être le meilleur casting de la saga: Cloud est parfait en mercenaire tourmenté, Tifa
impeccable en amie d'enfance qui souffre, Aerith divine en bienfaitrice au destin tragique et Sephiroth inoubliable en ange de la mort apocalyptique.
Quasi-parfait. Rythmé, parsemé de nombreux rebondissements, cette traque contre le grand Sephiroth marquera n'importe quel joueur à vie. La firme Squaresoft était au sommet de son art à l'époque.
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PSOne
Test express
26 octobre 2012
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/10
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/2012
18:36
C'est SE donc il est évident que la note dans ce critère peinera à descendre en dessous de 8. La modélisation est soignée à l'extrème et les cinématiques époustouflantes, comme d'habitude. Seuls
les décors font office de mauvais élèves par leur manque de détails.
Et c'est là que le bât blesse. En voulant copier le dynanisme d'un Devil My Cry tout en gardant le rouage des déplacements d'un RPG classique, SE se plante complètement. Vincent n'arrive pas à
sauter une barrière d'un mètre de haut alors qu'il bondit à hauteur vertigineuse dans les cinématiques. Bref, pas du tout cohérent. Le système de shoot assure le service minimum pour sauver le
gameplay.
L'ensemble n'est pas vilain et immerge le joueur comme il faut. L'OST monte crescendo durant la 2e partie du récit.
Vincent Valentine aurait pu tomber dans la caricature en forçant le trait du
brun ténébreux mais sa fragilité révélée dans certaines séquences assure sa stature de héros. La petite Shelke est la révélation du jeu et les Tsviets (Rosso,
Azul, Nero, Weiss) sont tout simplement hallucinants. N'oublions pas le plaisir de retrouver l'ensemble du casting de FFVII, l'espiègle Youffie en tête.
Entrainant mais dispensable. Le récit explose (dans tous les sens du terme) à partir de l'assaut de Midgar où l'exploration des profondeurs de la Shinra ressemble à une étouffante descente aux
enfers. Une expérience aussi glauque qu'infernale à déconseiller aux plus claustrophobes.
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PS2
Test express
3 septembre 2012
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19:57
Sans surprise, c'est le hic de cette production. Merci la Wii. Heureusement, l'aspect anime limite la casse.
Sans surprise, c'est le top de ce titre. Il s'agit de l'un des plus bourrins auquel j'ai joué, sans pour autant mettre le cerveau en pause. Le système des titres est une excellente idée car on a une totale liberté de l'évolution de nos personnages.
Rien de bien extraordinaire. L'ensemble est plaisant mais oubliable une fois le jeu terminé.
Voir l'évolution des héros sur une période de 7 ans d'écart est intéressant. Asbel passe du garnement chef de bande à un adolescent moins sur de lui, contrairement à son frère. Cheria, la gothic-lolita de service, remplit parfaitement son rôle d'amie d'enfance secrètement amoureuse. Pascal est la plus attachante du groupe.
Les vieux routiers du J-RPG suivront l'intrigue en baillant tant elle reste prévisible et sans originalité. Heureusement, l'enthousiasme du personnage de Pascal donne envie d'en savoir plus sur l'univers du jeu.
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PS3
Test express
8 août 2012
3
08
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/2012
19:07
Le rendu cell-shading est le meilleur choix à faire concernant la licence, préférant un visuel anime à un rendu réaliste. Mignon, coloré et techniquement très solide sur NGC, le contrat est tenu
sur le critère de la réalisation.
A l'instar des Star Ocean, la déception est quasi-impossible. Dynamique, bourrin et tactique où le plaisir de cumuler les coups est primordial, cet épisode permet à la licence de passer le cap de
la 3D sans encombre. Une réussite exemplaire!
Vous chantonnerez sans lassitude The land of Sylvarant, l'un des meilleurs morceaux de l'OST, propulsant le joueur dans une envie d'exploration sans limite, les yeux remplis d'étoiles.
Arai, Sakuraba et Tamura ont bien fait leur travail.
Ahem... Colette, non, non et NON! Cette sidérante godiche gâche un peu le casting très attachant, qu'on ne présente plus. Lloyd remplit son rôle d'adorable
crétin tandis que Sheena assure sans peine la catégorie "y'a du monde au balcon". Le tandem Raine/Genis, renforcé par l'imprévisible
Zelos et le mystérieux Kratos confirment définitivement le grand cru de cette distribution.
Ce RPG n'échappe pas au virus très courant du "je traine les pieds au démarrage", symptôme frappant bon nombre de titres encore aujourd'hui. Les 15-20 premières heures sont encombrées d'une
mièvrerie frôlant la parodie du genre avant de se lancer enfin comme il faut dans une aventure avec un grand A. Certaines libertés de choix sur la progression de l'aventure, est un plus très
appréciable.
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GameCube
Test express