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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 20:33

FF VIII

 

9 GRAPHISMES

On n'est pas loin du 10. La cinématique d'introduction, celle du bal de promo et tant d'autres ont mis tant d'étoiles dans les yeux des joueurs qu'il s'agit d'un des RPG les plus aboutis techniquement sur PSOne. Les invocations restent encore impressionnantes aujourd'hui et les décors sont variés (mégalopole high-tech, Citadelle moyenâgeuse...)

 

8 SYSTEME DE COMBAT

Très bourrin à cause de l'utilisation massive des G-Forces et des limit break. La seule subtilité tactique est le vol de magie dont son stockage permet de découvrir un système de craft original et prenant.

 

8 MUSIQUES

Ecrasé par sa productivité de l'époque, Uematsu commençait à s'essouffler dans cette OST. Heureusement, au milieu de nombreux thèmes d'ambiance passables, on repère vite les pépites (Liberty Fatali, The extreme...).

 

8 PERSONNAGE

A cause de son omniprésence, Squall ratatine tout le casting et l'importance accordée par les scénaristes à sa relation avec  Linoa n'arrange pas les choses. La prêtesse Edea arrive à tirer son épingle du jeu.

 

8 SCENARIO

Impressionnant de complexité, le récit part dans de sacrés délires à partir de sa seconde moitié. C'est travaillé mais par moment un peu confus. Le manque d'informations claires concernant le boss final reste un constat décevant.

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7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 21:26

FF VII

 

7 GRAPHISMES

Parler des graphismes de ce titre en 2012, c'est un peu compliqué. Les cinématiques n'ont rien perdu de leur impact, ni les décors mais les personnages sont moches comme c'est pas permis. Même les invocations ont mal vieilli graphiquement.

 

9 SYSTEME DE COMBAT

L'un des préférés des fans. Les Materia offrent des combinaisons impressionnantes, permettant de crafter les armes et les personnages de manière très fun. Les tactiques en combats restent basiques: on bourrine et on soigne.

 

9 MUSIQUES

Un effet bontempi assez pourri gâche des partitions devenues mythiques: J-E-N-O-V-A, Cosmo Canyon, Still More Fighting, Aerith's theme ou encore One Winged Angel.

 

10 PERSONNAGES

Peut-être le meilleur casting de la saga: Cloud est parfait en mercenaire tourmenté, Tifa impeccable en amie d'enfance qui souffre, Aerith divine en bienfaitrice au destin tragique et Sephiroth inoubliable en ange de la mort apocalyptique.

 

9 SCENARIO

Quasi-parfait. Rythmé, parsemé de nombreux rebondissements, cette traque contre le grand Sephiroth marquera n'importe quel joueur à vie. La firme Squaresoft était au sommet de son art à l'époque.

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26 octobre 2012 5 26 /10 /octobre /2012 18:36

Dirge of Cerberus FFVII

 

8 GRAPHISMES

C'est SE donc il est évident que la note dans ce critère peinera à descendre en dessous de 8. La modélisation est soignée à l'extrème et les cinématiques époustouflantes, comme d'habitude. Seuls les décors font office de mauvais élèves par leur manque de détails.

 

5 SYSTEME DE COMBAT

Et c'est là que le bât blesse. En voulant copier le dynanisme d'un Devil My Cry tout en gardant le rouage des déplacements d'un RPG classique, SE se plante complètement. Vincent n'arrive pas à sauter une barrière d'un mètre de haut alors qu'il bondit à hauteur vertigineuse dans les cinématiques. Bref, pas du tout cohérent. Le système de shoot assure le service minimum pour sauver le gameplay.

 

7 MUSIQUES

L'ensemble n'est pas vilain et immerge le joueur comme il faut. L'OST monte crescendo durant la 2e partie du récit.

 

8 PERSONNAGE

Vincent Valentine aurait pu tomber dans la caricature en forçant le trait du brun ténébreux mais sa fragilité révélée dans certaines séquences assure sa stature de héros. La petite Shelke est la révélation du jeu et les Tsviets (Rosso, Azul, Nero, Weiss) sont tout simplement hallucinants. N'oublions pas le plaisir de retrouver l'ensemble du casting de FFVII, l'espiègle Youffie en tête.

 

7 SCENARIO

Entrainant mais dispensable. Le récit explose (dans tous les sens du terme) à partir de l'assaut de Midgar où l'exploration des profondeurs de la Shinra ressemble à une étouffante descente aux enfers. Une expérience aussi glauque qu'infernale à déconseiller aux plus claustrophobes.

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3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 19:57

Tales of Graces

 

6 GRAPHISMES

Sans surprise, c'est le hic de cette production. Merci la Wii. Heureusement, l'aspect anime limite la casse.

 

8 SYSTEME DE COMBAT

Sans surprise, c'est le top de ce titre. Il s'agit de l'un des plus bourrins auquel j'ai joué, sans pour autant mettre le cerveau en pause. Le système des titres est une excellente idée car on a une totale liberté de l'évolution de nos personnages.

 

7 MUSIQUES

Rien de bien extraordinaire. L'ensemble est plaisant mais oubliable une fois le jeu terminé.

 

7 PERSONNAGE

Voir l'évolution des héros sur une période de 7 ans d'écart est intéressant. Asbel passe du garnement chef de bande à un adolescent moins sur de lui, contrairement à son frère. Cheria, la gothic-lolita de service, remplit parfaitement son rôle d'amie d'enfance secrètement amoureuse. Pascal est la plus attachante du groupe.

 

7 SCENARIO

Les vieux routiers du J-RPG suivront l'intrigue en baillant tant elle reste prévisible et sans originalité. Heureusement, l'enthousiasme du personnage de Pascal donne envie d'en savoir plus sur l'univers du jeu.

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8 août 2012 3 08 /08 /août /2012 19:07

Tales of Symphonia

 

8 GRAPHISMES

Le rendu cell-shading est le meilleur choix à faire concernant la licence, préférant un visuel anime à un rendu réaliste. Mignon, coloré et techniquement très solide sur NGC, le contrat est tenu sur le critère de la réalisation.

 

9 SYSTEME DE COMBAT

A l'instar des Star Ocean, la déception est quasi-impossible. Dynamique, bourrin et tactique où le plaisir de cumuler les coups est primordial, cet épisode permet à la licence de passer le cap de la 3D sans encombre. Une réussite exemplaire!

 

8 MUSIQUES

Vous chantonnerez sans lassitude The land of Sylvarant, l'un des meilleurs morceaux de l'OST, propulsant le joueur dans une envie d'exploration sans limite, les yeux remplis d'étoiles. Arai, Sakuraba et Tamura ont bien fait leur travail.

 

8 PERSONNAGE

Ahem... Colette, non, non et NON! Cette sidérante godiche gâche un peu le casting très attachant, qu'on ne présente plus. Lloyd remplit son rôle d'adorable crétin tandis que Sheena assure sans peine la catégorie "y'a du monde au balcon". Le tandem Raine/Genis, renforcé par l'imprévisible Zelos et le mystérieux Kratos confirment définitivement le grand cru de cette distribution.

 

8 SCENARIO

Ce RPG n'échappe pas au virus très courant du "je traine les pieds au démarrage", symptôme frappant bon nombre de titres encore aujourd'hui. Les 15-20 premières heures sont encombrées d'une mièvrerie frôlant la parodie du genre avant de se lancer enfin comme il faut dans une aventure avec un grand A. Certaines libertés de choix sur la progression de l'aventure, est un plus très appréciable.

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